Les prix FIFA: De la farce cérémonielle à l'ironie géopolitique
Ce sermon là (cette homélie) nous invite à checker (examiner) d’autres gros bonnets de la politique mondiale. On va voir comment la FIFA pourrait pimper (améliorer/customiser) ses propres prix pour Benjamin Netanyahou et Vladimir Poutine. Le sport, ici, ne fait que donner un stamp (sceau/tampon) officiel à des stratégies tough (dures) de la politique.
- 1. Benjamin Netanyahou: L’éloge du mur de briques (Mur infranchissable)
Pour l’ex-premier ministre israélien(pas encore ex), la FIFA pourrait sortir le «FIFA Golden Wall Award» (le Prix du Mur d'Or). Ce prix-là, c’est pas pour la fluidité ou les belles passes, mais pour le meilleur goal de défense: l'imperméabilité absolue. C’est le statement (déclaration) ultime sur l'art de barricader, où la gestion des frontières est vue comme une maîtrise tactique de haut niveau.
Le trophée, une réplique de mur en or, serait un hommage un peu vache (un peu cruel) à la paranoïa géopolitique transformée en œuvre d’ingénierie sportive. L’idée derrière, c’est ben plate (triste): le leadership, ça se mesure à la capacité de dire non à l’autre, de créer la plus grosse barrière. La FIFA, qui est obsédée par la sécurité de ses stades, donnerait ici son aval à l’idée que le mur est un symbole de réussite. C’est une ostie de blague (sacrée blague) par rapport à l'esprit d'ouverture qu’on devrait associer au sport.
- 2. Vladimir Poutine: Le contrôle de la map (Contrôle du territoire)
Poursuivons la dégringolade avec Vladimir Poutine. On pourrait lui donner la «FIFA Global Territory Cup» (la Coupe du Territoire Mondial). Y’aurait (il y aurait) pas de jokes (blagues) là-dedans, ce serait la récompense pour sa maîtrise complète du terrain. Le prix serait pour sa «capacité exceptionnelle à gosser (bidouiller/modifier) la map et à repousser les limites». C’est une façon niaiseuse (idiote) d’applaudir les annexions et l’expansionnisme.
Ce trophée symboliserait la stratégie de tough (stratégie dure) appliquée au soccer. Le critère de «contrôle du ballon» serait interprété comme une manipulation des zones d'influence. La FIFA, en sautant dans la parade (en rejoignant le mouvement) de ce visionnaire, accepterait que le leadership, c’est celui qui est capable de changer le jeu sans demander la permission. C’est la preuve que la force brute a pogné (a réussi) à voler l'esprit sportif. Le globe de cristal, c’est juste une cenne noire (une broutille) qui rappelle que pour ces acteurs, la game internationale, ça finit jamais.
- 3. La conclusion: Quand la joke dépasse la réalité
La FIFA, en voulant se donner de l'air de grande institution, ne fait que montrer à quel point elle est superficielle. Elle ne récompense plus la valeur, mais le statut; elle ne donne pas un prix pour le mérite, mais pour la capacité d’un gars à être la vedette de son propre récit mondial.
Finalement, notre grande histoire moderne, c’est pas celle de l'héroïsme ou de la vérité. C’est celle de la dérision générale. Un livre où on donne des tapes dans le dos (on félicite) aux politiciens pour leurs romans et leurs stratégies guerrières, et où tout ça est rendu possible par le maudit (foutu) soccer. Le ballon a gagné, et il a tout ramassé (tout pris): la culture, la morale, tout le kit.






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